Le très honorable Stéphane Dion sous le regard déshonorable de sa fille Jeanne.
Photo: AFP/ Rogerio Barbosa 2008
Hier soir, je couvrais la fin de campagne Libérale pour le compte de l’agence AFP. Non seulement il y avait plus de médias que de partisans, mais la soirée ressemblait vraiment à un enterrement de vie de garçon, sans la bouffe, sans la musique et sans les danseuses, donc vraiment au sens littéral, un enterrement tout court…
Monsieur Dion est venu faire son discours vers 12:30, après celui de Mme May, M. Duceppe, M. Layton… INTERMINABLE comme soirée et MINABLE comme ambiance…
Voici quelques photos de cette soirée
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Super Rogerio ! Bon timing pour le montage (vive Concordia 😉 ) Short & sweet… comme le regne du "grand champion" …
Eric
Je regardais le langage non verbal des politiciens (c’est une de mes expertises que j’inclus dans mes cours de communication, ventes et négos) et je me demandais si le gars du Kodak faisait exprès d’inclure sa fille dans le cadrage.
Ça faisait pitié. On aurait un petit chien piteux.
En tout cas, les médias semblent bombarder Dion pour qu’ils démissionnent. Ils ne le disent pas directement bien sûr, mais à travers des questions répétées sans cesse à toutes les nouvelles et tribunes.
On peut aisément démolir quelqu’un de cette façon – et c’est là qu’on voit que le rôle des journalistes dépassent le simple fait de rapporter des nouvelles, mais plutôt d’influencer la nouvelle. Ce n’est pas nouveau. On voit ce phénomène dans les sports, surtout le Hockey, depuis toujours.