Je suis présentement à Trois-Rivières afin de couvrir le Grand Prix pour le compte de Rue Frontenac. Ce qu’il y a de bien au GP3R c’est que tout les spectateurs sont près, très près de l’action. Malgré la chaleur près de la piste (40 oC), la sueur et les odeurs côtoient éthanol et “rubber” dans les puits…
Voici quelques images de ma journée de samedi.