Donc je rejoint plusieurs collègues qui se battent depuis 6 mois pour la survie de leur emploi et surtout la survie du photo journalisme… Ils ont fait le choix de se battre et non pas de se laisser abattre. Rue Frontenac devient peu à peu une référence, par son contenu, pour la justesse de propos journalistiques ainsi que par une liberté photographique et visuelle.
Je vous invite donc à surveiller mon blogue, car mes aventures à Rue Frontenac y seront le point de mire.
Merci à Pierre et à Olivier 🙂